le plaisir de la captive de Léopoldo Brizuela
Ce livre m'a rappelé un enseignant de l'université de Rennes 2 que j'appréciais beaucoup : Philippe Hamon. Ses cours de stylistique étaient pour moi des moments de pur enchantement. La notion de "seuils" en littérature qu'il avait développée dans de nombreux articles m'est revenue à l'esprit. Pour entrer dans un univers fictionnel, il faut franchir un seuil, accepter le style de l'auteur même s'il peut sembler rebutant au premier abord.
Pour Le plaisir de la captive qui est un maillon de la chaîne de livres, j'ai tenté de franchir la porte, d'entrer dans le monde de Leopoldo Brizuela. D'un tempérament pugnace, j'ai même essayé d'y pénétrer par la fenêtre... Rien à faire, j'ai respecté la règle des cinquante premières pages et je me suis résolue à rester au dehors.
Peut-être que d'autres lecteurs trouveront la clé de ce recueil de textes proposé par Bookomaton...
Pour Le plaisir de la captive qui est un maillon de la chaîne de livres, j'ai tenté de franchir la porte, d'entrer dans le monde de Leopoldo Brizuela. D'un tempérament pugnace, j'ai même essayé d'y pénétrer par la fenêtre... Rien à faire, j'ai respecté la règle des cinquante premières pages et je me suis résolue à rester au dehors.
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